Bifurquer est une nécessité, une urgence, l’expression d’un choix. Comment le faire, avec qui et, parfois, contre qui ?
Nous sommes aujourd’hui devant une bifurcation : changer ou disparaître, qui s’incarne dans de multiples bifurcations.
Le projet Bifurcation/s a pour ambition non seulement de documenter ces bifurcations, mais également d’en provoquer, en se positionnant comme un espace de circulation, de confrontation et d’action.
Nous ne cherchons pas à défendre une ligne mais à en favoriser les émergences inévitablement multiples. L’ancrage est donc multi et transdisciplinaire, ouvert aux universitaires comme aux autres porteurs de savoirs, tous ancrés dans des trajectoires qui ont bifurqué ou entendent peut-être de le faire. Car rien ne peut plus être comme avant.
Une organisation originale, en cours de constitution
- Un conseil scientifique interdisciplinaire.
- Un comité de lecture actif, impliqué dans la vie de la revue.
- Un comité de rédaction expérimenté, d’une vingtaine de personnes.
- Des personnalités associées de la société civile, issues de syndicats, associations écologistes, d’éducation populaire etc.
- Une position réflexive, facilitante, circulante, bienveillante, évitant que les controverses ne virent à la polémique, et ne donnant de leçons à personne
- Une position réflexive, circulante, bienveillante, évitant que les controverses ne virent à la polémique, et ne donnant pas leçons.
- Une épistémologie dérivée de « l’objectivité forte » théorisée par la féministe Sandra Harding.
- Des thématiques audacieuses abordées avec exigence : sécurité sociale et écologie, conservatisme et écologie, planification et écologie etc.